Je viens de parcourir les différents avis et je m'y retrouve une peu dans chaque.
Membres de l'ALAF depuis 18 ans, ce n'est qu'en 97, lors des grands travaux du club, que je m'y suis investit.
Je me réjouis d'être le vendredi, pour aller au club, y voir les copains et travailler sur le réseau. La motivation n'y est pas toujours, mais il faut faire avec. comme le dis LMA, il faut conciller vie de famille, travail et le reste c'est pour le club.
Quant aux membres qui viennent au club pour boire un verre et discuter train, pas de problèmes. Leurs consommations font rentrer de l'argent dans la caisse du club.
Mais il y a quant même un point négatifaux membres passifs. Chez nous, certains, ils ne sont pas nombreux heureusement, non content de ne rien faire, se permettent de "Critiquer" le travail fait ou pire encore par des conversations empêchent les membres travailleurs de se concentrer sur leur travail.
Il faut donc que les uns et les autres puissent se respecter.
La liberté des uns s'arrête ou celle des autres commence!
Membres de l'ALAF depuis 18 ans, ce n'est qu'en 97, lors des grands travaux du club, que je m'y suis investit.
Je me réjouis d'être le vendredi, pour aller au club, y voir les copains et travailler sur le réseau. La motivation n'y est pas toujours, mais il faut faire avec. comme le dis LMA, il faut conciller vie de famille, travail et le reste c'est pour le club.
Quant aux membres qui viennent au club pour boire un verre et discuter train, pas de problèmes. Leurs consommations font rentrer de l'argent dans la caisse du club.
Mais il y a quant même un point négatifaux membres passifs. Chez nous, certains, ils ne sont pas nombreux heureusement, non content de ne rien faire, se permettent de "Critiquer" le travail fait ou pire encore par des conversations empêchent les membres travailleurs de se concentrer sur leur travail.
Il faut donc que les uns et les autres puissent se respecter.
La liberté des uns s'arrête ou celle des autres commence!