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Il y a des cardans dans les sets de détaillage Roco. Si le cardan est trop long ou trop court, il faut le couper  en deux et enfiler les deux parties dans du tube Evergreen et ajuster la longueur du cardan ainsi reconstitué en se basant sur la longueur du deuxième cardan de la loco. Pour le collage, utiliser de l'Araldite ou faire un test avec du Métyl ethyl cétone (MEC) qui soudera les éléments entre eux. C'est une solution de rechange en attendant la pièce ad hoc.

A +

Philippe,

Artisan ou commerçant : il faut faire la distinction entre ces deux vocables. Pour moi, un artisan fabrique lui-même et commercialise ses produits, voire fait appel à des intermédiairespour les écouler.

Celui qui fait fabriquer des produits, fussent-ils en petite série, même estampillés à son nom n'est pas un artisan. C'est un commerçant. C'est le cas de OL, par exemple.

Comme tu le dis, chacun a force de loi dans son commerce. Mais plutôt que de s'appuyer sur une législation, si le commerçant en question choisit délibérément un comportement d'éthique et de respect envers sa clientèle, les choses se simplifient. Lorsque l'on importe, il faut évidemment s'attendre à des litiges. Ce qui veut dire que l'on agit en connaissance de cause. Même chose lorsque l'on fait fabriquer des pièces en Asie.

Lorsque l'on n'est pas sûr de la fiabilité absolue de ce qu'on a commandé, on résout le problème avant d'écouler sur le marché. Voilà mon humble avis sur la question. Mais il est vrai qu'il faut une méchante dose de courage pour se lancer.

A +

J'aime beaucoup les remarques qui ont été émises. Oui c'est vrai que plein d'amateurs tombent en pamoison devant le premier modèle belge venu. Et j'ai l'impression que Monsieur OL sait cela et qu'il sait que ses modèles, bons ou mauvais, trouveront preneur. Ce qui semble également l'exonérer de produire (non, de faire produire...) un produit fiable.

 On pourrait faire preuve d'un peu plus d'indulgence si on savait qu'en réalité les modèles étaient issus  intégralement de ses propres mains.  Mais, ce n'est pas le cas : ici, il ne s'agit plus d'artisanat, mais bien d'une production industrielle déguisée. Donc, on doit attendre de ce genre de produit une fiabilité et un SAV à la hauteur.

Si ma moto tombe en panne tous les 100 km, je ne peut l'admettre, surtout si elle est récente. C'est la même chose pour un AR 45 ou une machine à laver. Les réflexions lues sur le Forum ne sont pas hélas des exceptions. Il y a des mois que j'entend de la bouche de collègues amateurs les mêmes récriminations.

Qu'on se le dise une bonne fois pour toute : Monsieurs OL n'est pas un artisan, c'est un commercial qui fait produire ce qu'il propose à la vente. Ce faisant, il est en devoir de fournir de la qualité et des services performants. Bernard a parfaitement raison de déposer un dossier. C'est ce que tout un chacun ferait pour un autre produit de consommation.

A +

Bonjour à tous,

Un peu tard, mais ce petit post pour dire combien j'ai apprécié d'aller à Momalle et de participer à l'expo de notre Ricky national. C'est dit, l'année prochaine, je reviens. Comme prévu, j'y ai trouvé l'ambiance sympa propre aux Lidjeux. Bravo à Ricky pour avoir osé et en espérant que Momalia devienne un de nos grands incontournables.

A +

Bernard,

Tu es tout excusé ! Merci pour ces félicitations. C'est vrai que trop de modestie nuit. Mais l'inverse pour certains est tout aussi vrai. J'en connais qui se font une gloire, s'auto-encensent et donnent des leçons avec des montagnes qui acouchent de souris. Ceux-là ne se remettent jamais en question. Si j'ai progressé, c'est à force d'auto-critique, de corrections et de rectifications. La rançon de tout ça, c'est que je suis peu productif et que je ne stabilise pas toujours mes projets. Viser l'excellence, c'est bien, mais c'est souvent au détriment du quantitatif...

Pour continuer "Retour au Pays-Noir", il va bien falloir arrêter une fois pour toute mon projet. Ce qui était présenté à Momalle n'est que l'embryon de ce qui devrait suivre. Si j'arrive un jour à finaliser tout cela, le résultat rendra compte de ce qu'était l'industrie charbonnière, les lignes industrielles et vicinales, mais aussi l'habitat et l'environnement social du Pays-Noir dans les années 1950 à 1970. Je vais m'y remettre,  maintenant que j'en ai fini avec ma licence, je retourne au charbon !

Amicalement

Merci beaucoup !

Bonjour à tous,

Assez d'accord avec ce qu'a dit Serow au sujet de l'autorail vicinal (excusez le hors sujet...).  Les prix de dingue demandés pour des "cacailles" en résine, bidouillées et mal peintes, c'est bien prendre les gens pour des pigeons et des cons. Il y a 10 ans, j'ai eu la faiblesse de commander à F (constructeur de trams miniatures) une PCC que j'avais commandée et payée en souscription. Pour environ 200 Euros, j'ai eu un châssis impéccable... surmonté d'une merde infâme en guise de caisse : des micro trous comme si on avait tiré à la Kalachnikov sur le tram, une peinture graineuse avec des coulées et des finitions digne de Cro Magnon, à savoir des pare brises représentés par des feuilles de cellophane mal pliées.

Moralité, ne jamais payer à l'avance un modèle tant que l'on a pas vu le résultat concret. Quant à moi, comme Serow, on ne m'aura plus, même si le modèle convoité fait partie de mes préférences sentimentales.

A +

Bonsoir,

Cela m'intéresse ! D'avance merci pour ces scans.

Cordialement

Qui pourrait détenir des renseignements sur les types d'autorails qui ont circulé sur les lignes de l'Entre-Sambre et Meuse au départ de la remise de Florennes jusque dans les années 1957 environ ?
Habitant sur l'ancienne ligne 138 (Châtelineau-Florennes) et 137 (Acoz-Mettet) il me serait agréable de recevoir ces informations sur le matériel ayant circulé dans cette région en particulier Florennes-Central. Merci d'avance à tous

Alain,

Les seuls autorails qui ont circulé  sur la 138 et la 137 sont les 551. De Walcourt à Florennes Central,  outre les 551, les 608 ont circulé également.  Certains trains de pointe étaient composés  d'une rame de GCI + Type 15 ou 16, par après d'une rame de M1 + Type 16, remplacées plus tard par des types 97. A noter que durant l'hiver 62-63, en remplacement des bus de substitution, pour cause d'intempéries, ces rames de M1 + Type 97 ont été remises en service.

Avant guerre, Florennes Central disposait de types 41 en plus d'autres types que je ne connais pas. Dès le début des années 50, cette remise s'est spécialisée exclusivement dans les AR 551 jusqu'à sa suppression en 1957.

Pour la petite histoire, des trains spéciaux ont été mis en service à l'occasion des meetings de la base de Florennes dans les années 60-70, cela même si le service ferré voyageur était supprimé depuis des lustres. ( La gare a de toute façon été maintenue jusqu'en 1977 pour la délivrance des billets...). Les trains spéciaux étaient assurés par des rames réversibles normalement en service sur la L 132.

Tout ce que tu as sur Florennes m'intéresse (photos, plans ou autres...).  Comme toi, j'habite dans le coin (Châtelet ). D'avance merci.

A +
Gilles

Salut à tous,

La SNCB désignait l'ensemble des installations sous le vocable "remise". Aujourd'hui on parle d'atelier de traction. Ce sont les Français qui par exemple parlent de dépôt.

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Bonsoir,

On ne sait évidemment rien de la politique d'acquisition menée par l'association en question. Ce qui me semble bizarre, c'est le fait que la SNCB qui n'opère plus aucune maintenance sur la ligne se fasse à nouveau connaître.

A propos de ce montant trop haut estimé par le CFV3V, il n'est peut être pas impossible que cette association ait voulu jouer l'effet d'annonce par une surenchère "catastrophiste", histoire de s'assurer un soutien. Cela, soit dit en passant, n'est qu'une hypothèse...

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Bonjour à tous,

Si le problème est épineux et ancré dans un imbroglio juridique, il n'en demeure pas moins que des solutions - autre que des suggestions  suscitées par des réactions émotionnelles - doivent exister. Ces solutions sont à trouver au niveau provincial, Dans le cas de la ligne actuelle du cfv3v, c'est la province de Namur qui est compétente. Soit les mandataires politiques élaborent une solution à négocier avec Infrabel, soit ils délient les cordons de la bourse pour allonger la différence de coût. Dans ce cas, le critère des retombées économiques engendrées par l'activité touristique du CFV3V est l'argument le plus crédible.

D'un autre côté, au vu de ce qui s'est passé en Grande Bretagne, je ne suis pas un franc partisan des privatisations  des transports publics. Celles-ci ne rimant pas forcément avec bonne gestion et sécurité. Notons que ce sont ces foutues directives de libéralisation qui amènent l'imbroglio que vous avez évoqué. Et que du temps de la SNCB de Papa, même si on était en face d'une organisation bureaucratique, il y avait eu moyen de trouver , et de faire exister, des accords qui ont tenu depuis des lustres.

La solution est politique et dépend de la motivation des politiciens et des acteurs de la région. Pas de fatalité donc !

A bientôt

Salut Dimitri,

C'est à la fin du Ravel qui emprunte notamment l'ancienne ligne 119. A hauteur du pont traversant le canal (rive droite en direction de Bruxelles...). Je n'ai pas de photos.

A +

Salut Dimitri,

Et j'en connait une autre non loin du canal à la limite de Roux et de jumet, celle des anciens charbonnages du Centre de Jumet. A Tertre, au n° des charbonnages du Hainaut, il y en a une également, où, pour la petite histoire, traînait jusqu'à récemment , une 030 T Tubize qui est à Malgeghem. (Conclusion, on a raté cela quand on a visité Carcoke - que de souvenirs...).

J'ai un plan, puisque j'ai construit une remise pour "Retour au Pays Noir"

A +

Dimitri,

A ma connaissance, et photos à l'appui, les remises de Baulers et de Blaton étaient à deux voies.

A +