Pour avoir pris très souvent le train Charleroi Bruxelles, combien de fois n'ai-je pas dû descendre du train parce que la 18 ne pouvait pas démarrer et attendre le prochain train.
Une fois, on est allé jusqu'à Marchienne-au-Pont et on a dû descendre pour prendre le train suivant.
Il y a quelques dizaines d'années, le conducteur SNCB se faisait un honneur de réparer sa machine et ne déclarait forfait que quand c'était vraiment grave. Il fallait alors remorquer la machine à l'atelier.
Maintenant, les conducteurs ne savent même plus remplacer un disjoncteur car c'est un technicien du constructeur qui doit le faire.
Autres temps, autres moeurs.
Une fois, on est allé jusqu'à Marchienne-au-Pont et on a dû descendre pour prendre le train suivant.
Il y a quelques dizaines d'années, le conducteur SNCB se faisait un honneur de réparer sa machine et ne déclarait forfait que quand c'était vraiment grave. Il fallait alors remorquer la machine à l'atelier.
Maintenant, les conducteurs ne savent même plus remplacer un disjoncteur car c'est un technicien du constructeur qui doit le faire.
Autres temps, autres moeurs.