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Bonjour à tous,

Est-ce quelqu'un pourrait m'indiquer les dimensions des signaux de vitesse à la SNCB? J'ai beaucoup de photos, mais aucune ne permet de déterminer leur taille.

Merci d'avance

bonjour,

impressionnant réseau. je ne veux pas pinailler, mais s'il doit représenter une situation belge = circulation à gauche, il vaudrait mieux tout retourner "dans un miroir" pour que les trains rentrant en voie un ne prennent pas l'aiguille en pointe mais plutôt en talon.

Citation :Initialment entrer par dgrr57

Bonjour Laurent,

je dirais qu'elle fait encore très propre []

...

Bonjour à tous,

Ce n'est pas tellement qu'elle est trop propre. Les locomotives à vapeur en état de marche étaient très grasses; et du gras + du charbon, ça fait noir plutôt que couleur rouille. Penser aussi aux fuites d'eau (ou de vapeur) sur les chapelles d'introduction, les joints du réchauffeur ACFI = coulures blanches (l'eau était traitée par des produits chimiques). Le compresseur dégueule généralement beaucoup d'huile au point que les environs en sont brillants, même sur une machine bien entretenue... Le mieux finalement, c'est d'aller les vraies sur un chemin de fer touristique. Elles souvent "trop" propres, mais on peut quand même trouver des idées. J'ai aussi posté sur un autre fil une photo d'une machine indienne dans son jus. Par contre, une machine hors d'usage rouille très vite.

Salut, Luc (oops, c'est difficile à prononcer[]),

La solution digitale sans ordinateur devient difficile à gérer quand on a beaucoup d'aiguillages: il faut se rappeler leur adresse digitale; pour tracer un itinéraire, il faut pousser beaucoup de touches sur la loc maus ou tout autre télécommande... et pendant ce temps là les trains ne roulent pas (ou alors ils roulent et ça peut être pire[B)]). Le seul avantage que je voie est une relative simplification du cablage par rapport au tout analogique. Comme je l'ai déjà dit, j'utilise un panneau de contrôle sur ordinateur et dans ce cas, la digitalisation des aiguillages (et des signaux) offre de grands avantages: création rapide d'itinéraires sécurisés et gestion réaliste des signaux comme dans le vrai chemin de fer avec un cablage relativement simplifié (mais pas nul quand même). Mais ce n'est plus le même budget... même si l'ordinateur que j'utilise est vieux de 7 ans.

Le problème n'est pas vraiment clair, mais ce que je peux dire est que je possède:
- des moteurs d'aiguillage Roco (ancien) de couleur grise qui sont analogiques et qui peuvent être commandés en digital par des décodeurs d'accessoires appropriés (genre Lenz LH100); ils possèdent 3 fils, un rouge, un vert et un noir;
- des moteurs Roco (ancien)"digital" de couleur rouge qui se connectent aux rails par deux fils de même couleur et possèdent un troisième fil qui ne sert qu'à la programmation de l'adresse du décodeur caché dans le moteur.

Dans tous les cas, ces moteurs sont destinés aux rails Rocoline avec ballast. Pour les rails sans ballast, je n'ai pas connaissance de moteurs digitalisés. A mon avis, la solution la plus universelle pour commander des aiguillages en digital est d'acheter des moteurs standards (=analogiques) et de les commander avec des décodeurs d'accessoires séparés. Attention quand même que dans ce cas, l'utilisation d'un ordinateur s'impose presque automatiquement, même si on peut créer des tableaux de commande optiques à boutons poussoirs classiques en digital; c'est juste que ça revient plus cher et c'est plus compliqué que le bon vieil analogique. J'ai d'ailleurs l'impression que sur ce forum, une majorité de modélistes est restée à l'analogique pour la commande des accessoires, juste pour cette raison. Réactions...?

Merci pour l'info. C'est exactement ce que je cherchais.

Bonjour à tous,

Je suis en train d'installer ma gare Kibri (retournée, puisque construite à l'envers par Kibri[}:)]). Je n'habite plus en Belgique depuis 25 ans, mais il me semble me rappeler que dans certaines gares les quais étaient recouverts de "cendrée" rougeâtre (le schiste des terrils calciné???). Est-ce que les éminents membres du forum peuvent me confirmer si mes souvenirs sont exacts. Si c'est le cas, est-ce que vous avez réalisé des quais de ce type et comment? Merci d'avance.

Citation :Initialment entrer par crugidim

On est en train de réaliser une supervision de ce genre au CFC...

ça marche, les interfaces sont créées, de même que la programmation et le TCO informatique.

Le seul petit probème, c'est que ça prend du temps à l'installation car il faut revoir toute la philosophie de câblage, sans parler de l'étude.

Mais si tu veux, je peux te mettre en contact avec l'instigateur du projet, il se fera une joie de partager son expérience []

Histoire de nourrir le débat, voici une copie de mon TCO informatisé, tout ça pour dire que c'est parfaitement possible:

Le clignottement des phares est le moeyn utilisé par Lenz pour signaler une erreur de montage. Et en effet, il est souvent nécessaire d'enlever tous les composants électroniques du genre diodes et capacités dont la fonction est prise en charger par les circuits du décodeur.

En étant un tantinet provocateur[}:)][}:)], je proposerais de digitaliser les aiguillages et d'utiliser l'écran d'un ordinateur, mais je reconnais que ce n'est pas le même budget

Bonjour,

Voici ma (modeste) contribution: j'ai effectivement commencé comme le recommandent Rick, Stefan et les autres: un ovale déformé en forme de L posé sur du contre-plaqué, reposant lui-même sur une ossature en "cornières métalliques perforées" (j'espère que vous voyez ce que je veux dire!): c'est très solide, superfacile à assembler et en plus parfaitement démontable. Quand je me suis lassé de voir tourner les trains en rond, j'ai transformé le réseau de départ en gare cachée et j'ai construit le vrai réseau par dessus, une des extémités de l'ovale devenant une rampe hélicoidale pour racheter la dénivellation. La structure en cornières métalliques était prévue pour ça dès le départ. L'intérêt de cette approche est que dans la première phase, j'ai pu apprendre à poser les voies, à les souder, ballaster, digitaliser le tout, en sachant que par la suite toutes mes erreurs de débutant seraient dissimulées par le réseau définitif.

Citation :Initialment entrer par jossebe2000

Citation :Initialment entrer par MVA

Question matériaux

L'objectif (dans un premier temps) est de travailler le laiton et l'alu... Je me suis laissé dire que dans ce cas on pouvait travailler à sec

Bonjour

laiton, pas de lubrifiant voire du petrole (sous reserve)

pour l'alu, lubrification au "petrole"

Pas d'accord du tout pour le laiton : un outil bien affuté vaut tous les lubrifiants du monde. Pour l'aluminium, j'ai aussi utilisé le pétrole avec succès, mais attention aux incendies et veiller à bien ventiler l'atelier.

Citation :Initialment entrer par MVA

Question matériaux

L'objectif (dans un premier temps) est de travailler le laiton et l'alu... Je me suis laissé dire que dans ce cas on pouvait travailler à sec Sinon comme l'avance est manuelle je pensais travailler à la burette dans un premier temps...

...
Michel

Bonjour,

Je n'ai jamais travaillé avec une fraiseuse, mais j'ai utilisé un tour à métaux pour fabriquer une locomotive à vapeur vive. Sur la base de cette expérience qui impliquait d'usiner toutes sortes de métaux, je peux dire qu'il ne FAUT pas lubrifier le laiton quand on le travaille. L'alliage est spécialement étudié pour ça. La même chose pour le bronze, sauf pour certains types de bronzes spéciaux. Si on lubrifie, les petits copeaux s'agglutinent sur l'outil et le font chauffer. En plus on ne voit pas ce qu'on fait. Pour l'aluminium, les avis divergent, mais je l'ai toujours travaillé à sec. Ceci dit, il n'y a pas d'aluminium dans une locomotive à vapeur vie donc mon expérience avec ce métal est limitée.

Je trouve aussi la remise plus "vraisemblablement belge" que les maisons en crépi (ne pas peindre les portes et fenêtres en vert toutefois). J'utilise moi-même pas mal de bâtiments Walthers Cornerstone en briques qui peuvent être belgicisés assez facilement, sauf pour les fenêtres qui sont très différentes aux US (type guillotine) et en Europe (battants ouvrants). Exemples faciles à exploiter: la sucrerie et la centrale électrique. Reste qu'il nous manque cruellement des maisons individuelles belges convaincantes si l'on excepte les tentatives de Kibri (un peu trop "néerlandaises" à mon goût)et les efforts très méritoires de notre Ricky national, malheureusement trop limités[][]. Son kit de maison (Voroux) est un excellent exemple de ce qui nous manque.

Citation :Initialment entrer par gallagher

Citation :Initialment entrer par stefan Appelmans

Pour moi, extra!!

En plus.

Côté pratique, qu'est-ce qu'il y a?

Bon, en France j'ai fini par recevoir mon numéro donc je retourne le couteau dans la plaie: les rames diesels TEE en Belgique (un modèle Roco concerne aussi le Canada), en pratique: l'assemblage d'une maison de style Nord français et régions belges circonvoisines (pas suffisamment liégeois pour moi, mais bon, c'est mon problème) et comment concevoir le plan d'un réseau, plus plein d'autres choses intéressantes mais moins pratiques. Ceci dit, j'ai l'impression d'être un peu cruel...[}:)][}:)][}:)]