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Eh oh. Il y a aussi des membres abonnés en France (bibi et d'autres). J'ai reçu TMM aujourd'hui, cad avec à peine 1 jour de retard sur la Belgique.

Citation :Initialment entrer par André S

Excellente analyse de la patine des locos vapeur!

Une remarque, les locos étaient certainement bien entretenues comme tu dis du temps des équipes titulaires. Pour ceux qui ignorent ce que ça signifie, chaque loco à vapeur était attribuée à une équipe titulaire. Les 2 hommes de l'équipe (conducteur et chauffeur) avaient donc toujours en charge la même loco, d'où certaines locos super bien entretenues et d'autres moins bien.
Hélas, lorsqu'on a commencé à banaliser les équipes de conduite, on a vu de plus en plus de locos à vapeur mal entretenues, d'autant que tout le monde savait qu'elles n'en avaient plus pour très longtemps à vivre du fait de l'arrivée massive des diesels et électriques.
C'était le cas dans les années 60 en Belgique (fin de la vapeur 1967).

Tout à fait d'accord sur les machines en fin de vie. Je me rappelle les types 29 qui faisaient l'omnibus de Herbesthal (à Liège), si sales qu'on ne distinguait plus leur couleur verte; on aurait dit des machines allemandes toutes noires. J'essayais simplement d'attirer l'attention sur le fait que le patinage des machines à vapeur demande des mesures très différentes des diesels ou des électriques. Salir ne suffit pas, il faut le faire bien à propos: les machines, propres ou sales, étaient bien trop grasses pour rouiller: donc à mon avis ne pas abuser de couleur rouille, essayer de simuler des surfaces grasses propres (parties en mouvement)ou sales (compresseur, pompes à eau...), ne pas oublier les coulûres blanchâtres, surtout sur les machines "négligées"

Personnellement, comme je suis muni de 2 mains gauches, je ne patine pas mon matériel, ce qui ne m'empêche pas d'admirer le travail des spécialistes en la matière. Mais en tant que vaporiste ayant abondamment pratiqué plusieurs locomotives à vapeur, je voudrais dire que je suis souvent déçu du patinage de locos vapeur. Les titulaires des machines mettaient un point d'honneur à les nettoyer de fond en comble avant de prendre leur service. Toutefois, une loco à vapeur est une masse de fuites entraînant des salissures blanchâtres, notamment au niveau des chapelles d'introduction, des soupapes et accessoirement du sifflet (calcaire de l'eau et traitement anti-calcaire). Le compresseur abandonne souvent une mare d'huile sur le tablier (qui en devient brillant). Il y a souvent des coulûres blanchâtres sous la porte de la boite à fumée. Du fraisil reste accroché sur le tablier avant de la machine... Par contre, carrosserie et les cercles de chaudière, les soupapes, le sifflet,... restaient souvent très propres, à l'exception du toit de la cabine qui recevait les escarbilles. On retrouve rarement ce genre de patinage et il faut bien dire que les machines des chemins de fer touristiques sont souvent "trop" propres, par rapport à leurs homologues d'autrefois, pour servir d'exemples. Tout ça pour dire (gentiment ('[]')) que le patinage de la type 71 ne me convainc pas: trop de rouille et pas assez de "fuites".

A Liège, il y a aussi la rue Pierreuse qui monte et tourne à droite. En plus en contrebas, il y a un magnifique tunnel et un chemin de fer (gare de Liège Palais). Les maisons sont en briques pour la plupart, mais d'un style très ancien. Je n'ai pas de photos (et j'habite trop loin pour aller en prendre), mais on doit en trouver sur Internet.

Loin de toute polémique, mes photos de l'événement sont sur http://www.ona.vu/themes/vignettes.php?theme=Trains&pays=Belgique

Pour ma part, j'estime qu'en matière de digital, c'est tout ou rien. Il n'y a pas vraiment de différence de coût dans une solution partielle, dans la mesure où, en effet, il faut équiper toutes les locomotives en décodeurs.

Moi non plus, je ne fixe pas (plateau fixe).

Le livre est apparemment publié "à compte d'auteur" (donc pas d'éditeur). Il est en vente chez Magélux à Oignies et au musée du CFV3V à Treignes.

L'éditeur responsable ets Marc Hélin, 54 rue d'Odeghien à 1420 Braine-l'Alleud.

Tout est superbe et j'aime vraiment les autorails. Pour ce qui est de la rue du Vieux-Mayeur, ma fille y habite et j'ai une (mauvaise) photo de l'arrière des bâtiments, si ça peut aider. Il suffit de me dire où l'envoyer.

Je ne crois pas que notre forum soit le meilleur endroit pour faire de la politique, mais puisqu'on parle de référendum, il est bon de savoir qu'en 1792, les citoyens de la Principauté Episcopale de Liége ont été invités à un référendum sur le rattachement de la Principauté à la toute jeune République française. Seuls les hommes ont put voter, à 92 pour cent en faveur du rattachement. Il faut dire qu'à l'époque, les liégeois avaient l'armée impériale (allemande) et les Autrichiens aux fesses, parce qu'ils avaient miis leur prince-évêque (autrichien) dehors. Un peu d'aide n'était pas de refus. Ce rattachement n'a jamais été abrogé et ceci sert de base juridique à certains rattachistes liégeois. Ceci dit, à l'époque, il n'existait pas de chemin de fer, alors...

Comme j'ai deux mains gauches, la découpe du plasticard est au-dessus de mes moyens (et de ma patience.) Comme je me débrouille avec un ordinateur (pour faire les films), je les réalise par photogravure sur des plaques de laiton de 0,3 mm d'épaisseur. Un peu cher, mais le plasticard n'est pas donné non plus.

Citation :Initialment entrer par crugidim

Draisine de la molignée [)]

En asie, mais où?

Vietnam? Thailande?

Presque trouvé: au Cambodge sur la ligne de Phnom Penh-Poipet, à Battambang. Depuis la guerre civile, la ligne (voie métrique) n'est plus parcourue que par un train d'hydrocarbures quotidien et un mixte voyageurs le week end. Alors pourquoi ne pas s'en servir entre temps pour toutes espèces de transports. Aux croisements, le plus lourd à priorité et il peut s'agir du "régulier", qui n'a pas d'horaire fixe. Dans ce cas, mieux vaut savoir courir (vécu). Heureusement, la ligne est plate et en alignement à cet endroit. Une idée pour certaines de nos lignes fermées au trafic?

Petite devinette pour animer le forum: c'est quoi, c'est où?. D'accord, ce n'est pas du modélisme et ce n'est pas belge.

Je suis tout à fait de l'avis de Serow. Pour gérer confortablement des itinéraires, rien de tel qu'un ordinateur. Et tant qu'à investir dans le digital, pourquoi s'entêter à commander les aiguillages en "analogique" , avec des boutons poussoirs. Le plupart des logiciels tournent sur des ordinateurs plutôt modestes et qu'on trouve pour par cher sur le marché de l'occasion. Voir en particulier l'excellent logiciel Roco décrit dans le dernier TMM. L'un des problèmes avec les logiciels commerciaux est qu'ils ne gèrent pas vraiment bien la signalisation lumineuse belge, mais il existe des tourne-autour.

Suite à invitation, voici une description de mon réseau:

Dimensions: 4,5 m x 3,5 m
Echelle: H0 (rocoline), un peu de H0e, H0m en projet.
Epoque: III (vapeur et diesel)
Plan (voir image ci-jointe) une gare de passage avec raccordement industriel (sucrerie), une gare terminus et une gare cachée à -45 cm en boucle.
Décor: façon belge sans représentation d'un lieu précis (en cours).
Commande: DCC Lenz avec bus de rétrosignalisation pour lecture de la position des aiguillages et de l'occupation des cantons. Interface avec ordinateur: L'ordinateur commande les signaux lumineux et les itinéraires en automatique, la conduite des trains est manuelle et possible à partir de l'ordinateur.