OLIE-F-ANT

[Aviseur]

Bonjour,

Oserais-je écrire que j'ai beaucoup et apprécié l'article "Olie-f-ant ? Non seulement, il est très bien écrit tant dans sa structure que dans le choix des mots, mais encore il aborde, - sans avoir l'air d'y toucher - quelques aspects du modélistes ferroviaires qui, ou m'ont tracassé, ou me passionnent. En y réfléchissant, il y a peu de publications sur ces thèmes. je citerai plus particulièrement :

Technique et pratique de la recherche documentaire et archéologie ferroviaire (industrielle). - Cela m'a valu bien des (més)aventures...

Reproduction des circulations pour une époque donnée - Cela, entre autre, nous changerait des trains à la queue-leu-leu si une heure valait 6 minutes et qu'un horaire était disponible pour le visiteur.

Particularités des résaux industriels - Vive les résaux spaghettis (un peu pourris) réalistes.

Réalisme et symbolique - Non, toutes les locomotives n'étaient pas sales à l'époqie 3 ; non, les modifications de couleur ou de numération ne se font pas du jour au lendemain...

Un exemple pour conclure : les auteurs écrivent  "... où les wagons-citernes chargés sont remplacés par des vides" page 19 3ème colonne. Comment le spectateur le sait-il ? Les modalités de traction de la machine sont-elles les memes (vive le digital) ?

Le modélisme d'athmosphère a tenté d'aborder certains de ces thèmes mais me semble avoir viré vers une symboliques de la représentation mentale de quelques uns.

Merci pour votre indulgence.

[WALIFI]

Bienvenue aussi Aviseurs ou Bernard  
J'espère que tu passeras de bons moments avec nous !
Quand tu dis /
Technique et pratique de la recherche documentaire et archéologie ferroviaire (industrielle). - Cela m'a valu bien des (més) aventures...Que veux-tu dire par la ?
Tu vois aussi dans les rubriques HO2, HO3,  et autres échelles, explique nous tes aspirations en modélisme pour que l'on fasse connaissance
Cordialement
Philippe

[Aviseur]

Bonjour,

Cela veut dire par exemple que je me suis retrouvé en train (tchch) de photographier au milieu d'une voie désaffectée quand un vélomoteur à klaxonné : c'était un schienenbus (VT 98)!

Cela veut dire que j'ai fait enrager un pauvre fonctionnaire allemand pour avoir un horaire de train pour une compagnie qui s'était convertie en transporteur routier.

Ceal veut dire que j'ai ramassé, par haut-parleurs, une engueulade de Dieu le père en gare de Visé.

Cela veut dire encore que j'ai passé de belles vacances à la recherche de l'emplacement d'une gare et d'un embranchement.

Cela veut dire enfin qu'en combinant le tourisme et une recherche, expliquée et raisonnée, de paléontologie ferroviaire, cela a intéressé ma femme (époque 1) et mes enfants. Et cela était chouette.

Puis-je terminer par une anecdote ? Dans un congrès en mai 2108, un memebre du Morop a soutenu avec succès que les couleurs des automotrices Break de la défune SNCB étaient soit vert et crème, toit vert soit de la livrée dite Van Goth. Il avait retrouvé la maquette de présentation de la rame peinte en Vert et crème, toit vert (véridique, en gare de Bruxelles centrale), que les photos dans la livrée d'un artiste peintre date de la rétrospective Van Gogh, d'où leur nom célèbre. Quant à la livrée bordeau, il s'agit d'automotrices rouge servant d'ambulance lors de la bataille à propos de la scission dite BHV (Brussel, quelque chose). Les tons ont déteint. Et chaque jour, nous risquons de faire les mmees erreurs.

[WALIFI]

Bon bien tu veux une autre aventure dans notre beau pays

Comme tu peux voir je suis à la recherche de documents touchant à l'industrie
Et plus partiellement aux usines produisant de l'acier. Pourquoi cette envie, ce doit être des images et des ambiances de ma jeunesse que je voudrais reproduire en modélisme depuis longtemps. Bon bref  voici les faits
Ayant vu sur internet des photos de l'usine Carsid à Charleroi et n'étant pas assouvis des photos,  je me rends aussitôt sur le terril en face de l'usine. Je gare ma voiture sur un terre plein loin du trottoir  et prend appareil photo, pied pour les gros objectifs et tout le bazar.
Voilà je fais un film complet 36 vues de l'usine vue d'en haut du terril.
 ET alors
Quand je descends, j'aperçois un combi avec une bande bleu auprès de ma voiture, en m'approchant de ma voiture les agents me demande si c'est mon véhicule ?
Plus de plaques minéralogiques et  plus d'enjoliveurs sur les roues et  ils étaient prêt à appeler le camion d'enlèvement pour envoyer ma voiture à la fourrière.
Il en résulte j'ai du appeler le camion pour enlever la voiture n'ayant plus de plaques d'où radiation des plaques. D'ou nouveau contrat assurance nouvelle plaques etc
Et ce n'est pas tout, j'ai aussi récolté deux PV
Un pour avoir garé ma voiture sur un terrain privé voulant laisser le trottoir libre, 2 avoir été sur une propriété privée soit dit en passant non clôturée sur le terril
Vous croyez avoir fini et bien non. Ils ont perdu mon film
Tu vois rapatriement de la voiture, formalités pour obtenir les nouvelles plaques, PV en cours,
Et en plus ils me perdent le film.
Allez cher amis nous sommes qu'au commencement
Philippe

[ron242]

C'est toujours un plaisir de garer sa voiture dans notre beau pays noir...

Heureusement que la police [)] veille [)]

Il y a aussi des belles photos a faire sur la vieille route de Marchienne.

[ricky56]

Un autre genre d'aventure qui m'est arrivée...

J'étais en train de photographier dans le faisceau de la gare de triage de Montzen (près de Welkenraedt). J'avais demandé à un responsable du site si je pouvais me positionner au pied du bloc central, sur la piste de sécurité piétons (donc, hors de toute zone non accessible). Il me dit OK. Je m'installe, et un autre responsable passe et me demande ce que je fais. Je lui explique et dis qui m'a autorisé. Le gars dit alors que c'est OK et que, si je veux aller au dépôt, j'ai qu'à demander au bloc et qu'ils m'enverront quelqu'un pour y aller avec moi (sécurité oblige).

Mais un peu plus tard, je remarque que 3 imbéciles traversent dans les voies, sans gilet de sécurité, et avec appareils photos... Juste à ce moment, je vois ressortir le gars qui était passé un rien avant. Le temps de l'appeler (j'ai lancé un sifflement strident) et de lui montrer les "cons" (sorry du mot, mais il reflète bien mon état d'esprit du moment) et le voila qui sprinte vers ces trois gars. Ils ont été sortis manu militari à l'autre bout de la formation, accompagné par des agents de la police du chemin de fer... Et pour ma part, je me suis retrouvé avec quelques cannettes de limonade offertes par les gars du bloc pour avoir signalé le problème. Depuis, je suis presque "comme chez moi" quand je vais à Montzen...

Bref, quand vous allez faire des photos, restez sur les zones accessibles au public. Si vous voulez aller ailleurs, il suffit de demander gentillement et on vous y autorisera quasi toujours (visite accompagnée, cela va de soi). J'en ai fait la magnifique expérience à Gouvy, à Rivage, à Kinkempois, Bertrix, et j'en passe...

Amicalement,

Ricky.

[Aviseur]

Ce sont des anecdotes bien intéressantes.
C'est pour cela que je pensais qu'il pourrait etre intéressant de proposer des pistes "un peu techniques" qui facilitent la vie, permettent de gagner du temps et renchissenet la vie familiale, le cas échéant.

Je suis content de rencontrer quelqu'un qui s'interesse au chemin de fer industriel. Avec un peu de chance, il est encore temps de d'enregistrer quelques vues exhaustives de l'approvisionnement des hauts-fourneaux de Seraing, parce que le site va etre bien transformé...

Mon histoire la plus amusante (après coup) est arrivée à la gare centrale de Washington (partie haute). Peut-etre savez-vous que l'Amtrak a décidé de faire emabrquer les voyageurs comme dans un aéroport : ticketing et boarding par des portes. C'est assez comique car les passageres embarquent dans les trains par une porte unique. Cela prend un certain temps. Résultat corollaire : personne sur les quais. Sauf moi et un appareil photo. Arrive alors haut le pied une machine de manoeuvre avec un équipage de 4 employés, dont 3 atteleurs (question attelage automatique, cela laisse reveur), dévisant gaiement en patois local. Je m'approche. Moment de panique. L'équipe se met au turbin dans le plus grand sérieux et s'enfuit. A la stutpéfaction d'un garde, qui de passage, me demanda où était passé la machine... Au bout du grill... La prochaine fois, je serai plus souriant.
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