Parfois, les modélistes ont raison. I. Les gares

Démarré par Aviseur, 17 Décembre 2011, 16:48:50 PM

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Aviseur

La question de mon ami Wil-5183, dit la Pater, quant aux trois fils de voie m'a rappelé que, in tempore, j'avais relevé par jeu quelques  situations "insolites" qui paraîtraient absurdes sur un réseau modèle d'aujourd'hui. Malheureusement, cette collection était également stockée sur mon PC volé. J'en ai retrouvé quelques traces, que je propose à titre d'exemples, amusant et décomplexant.

I.   Les gares

1. Point de départ : l'orthodoxie : la gare de Sainte-Marie sur Semois.

 

 

 - Ce qui différencie une gare d'une halte est la présence d'au moins un appareil de voie. Quoiqu'aujourd'hui, ce qui semble faire la différence entre une gare et un point d'arrêt semble être la présence, même intermittente, d'au moins un agent ; j'ai cependant cru comprendre qu'un distributeur de billet le remplaçait utilement -.

Située sur la ligne 155 Marbehan - Croix Rouge (Y Saint Lambert ligne 289)) - Virton, la gare de Sainte-Marie sur Semois est bien le style d'installation qui convient à tout réseau (modulaire) d'atmosphère : une ligne à voie unique sur une belle ligne droite, des installations réduites, un bâtiment typé belge (et Kibri), un passage à niveau, une voie d'évitement, une voie de marchandises en impasse avec quai à bois, chargement de bestiaux, mais également chargement frontal, remise à marchandise facile à reproduire et parc à charbon. Le pont SNCV et la cour à marchandises, lieu échange avec le tram, sont un plus. Je me demande s'il n'y avait pas au moins un aiguillage supplémentaire  pour la desserte de la cour. Un regard attentif sur l'assiette de celle-ci renforce cette présomption. Tout y est et on peut même se passer d'un signal belge introuvable sans choquer : La voie d'évitement est très longue et le signal est reporté fort en avant du côté du photographe.  Cette ligne devenue industrielle est actuellement en attente d'affectation.

2. Nos amis français parlent de gare avec voie de gauche : les trains sont normalement reçus sur la voie de gauche.(A droite en Alsace-Lorraine).  Mais en termes de sécurité d'exploitation, en cas d'évitement, un autre concept est intéressant : le parallélogramme de voie. En effet, une déviation augmente le risque de déraillement et donc d'accident. La gare idéale est celle dans laquelle le train pénètre en ligne droite, s'arrête à quai, redémarre et talonne l'aiguille de sortie à petite vitesse. On obtient donc un parallélogramme de voie avec des assiettes de ligne de pleine voie décalée... Cependant, le risque est transféré aux voyageurs  parce que ce type d'exploitation impose que ceux-ci  traversent les voies quand le quai est opposé au bâtiment de la recette.

En Belgique, les trains sont normalement reçus le long du quai de la gare.

En Allemagne, la voie qui longe le bâtiment était habituellement réservée aux marchandises. Ce qui imposait des passages souterrains ou aériens.

Chez nous, ce cas de figure est plus rare. Mais c'est bien le cas de Marbehan, ou la voie 1 est réservée aux dessertes de marchandises (dépôt de carburant) et accès à l'ancienne ligne 155 pour la desserte éventuelle d'une scierie ou d'une usine d'embouteillage d'eau minéral.



Em Allemagne encore comme à Metz ou à Gent Sint-Pieters, une voie voyageurs en gare peut desservir deux quais, d'un côté, un quai haut et de l'autre un quai bas. Cette disposition est très peu courante en Belgique mais est intéressante pour des scènes de gare. Je l'arais bien imginée pour les services de catering des TGV à Bruxelles-midi.

Comment s'effectue la traversée des voies par les passagers des trains  dans notre pays ?

En l'absence de passage souterrain ou de passerelle, en priorité par les passages à niveau, (à Aywaille, ligne 42, par un passage supérieur) sinon par des passages de planches sur les voies ou par une procédure d'arrêt - dans le cas de croisement des trains - dans laquelle les deux trains étaient stoppés en quinconce l'un en face de l'autre avec des drapeaux rouge fixés dans les voies, le chef de gare organise la traversée en temps opportun. Ce fut le cas en gare de Spa, Theux ou Herstal, par exemple. Les passerelles sont intéressantes em modélisme parce qu'elles apportent du volume comme ici à Nessonveaux (ligne 37) :



3. Il y a-t-il des gares dans une courbe prononcée ailleurs que sur les réseaux miniatures ? OUI. La halte de Mery sur la ligne 43, notamment. Dans une courbe large, il y en a plusieurs comme l'importante gare de Quesnat :



Ici, un exemple en Allemagne, très représentatif de nos réseaux :



4. Existe-t-il comme sur les réseaux en 8 des gares en S ? OUI.

La halte de Roanne-Coo sur la ligne 42 est inscrite dans un S prononcé.



Voici un schéma d'une gare réelle en Allemagne.



5. Existe-t-il une halte électrifiée au bout d'un appendice de voie ? OUI.

La gare terminus de Spa-Géronstère (ligne 44), par exemple. – En référence à une autre question sur le forum -.





6. Existe-t-il deux gares, rapprochées, séparées par un tunnel (et en courbe) ? OUI.

Les gares de Rivage(ligne 43) et de Fraiture (dite aussi Liotte) (ligne 42). Dans les années 1980, Loco-Revue insistait sur le fait que la reproduction de la bifurcation donnait corps à la réalité de cette représentation. C'est bien le cas, ici, même si le fait de devoir sacrifier des appareils de voie pour le décorum peut donner mal au cœur.

Note : la gare de Rivage et alentours est une gare très intéressante en modélisme.  En venant de Liège, on observe la séquence suivante : en courbe : gare marchandises (pierres des carrières), gare voyageurs avec arrêt des trains internationaux pour l'Italie, bifurcation en courbe à gauche avec tunnel suivi de la gare de Liotte, pont sur l'Amblève sur la lgne principale, courbe, passage à niveau et gare en courbe de Comblain-au-pont. Rivage est un tout petit village ardennais dans une vallée étroite, avec une grande gare et un hôtel international... (Epoque II, III et IV).



7. Existe-t-il une gare en sortie de tunnel avec un passage à niveau  entre les deux ? OUI, plusieurs.

C'est le cas à Esneux (ligne 43).



Il y a évidemment des gares comprises entre deux passages à niveau comme Mariembourg, ou il y en a trois, un sur chaque branche de l'Y.

8. Il existe aussi plusieurs gares en X avec cisaillement par les trains, par exemple Lichtervelde (en disparition). Infrabel veut cependant supprimer tous les cisaillements, voir l'évolution de la gare de Namur.





9. Existe-t-il  un bâtiment de recette destiné aux seuls trains de marchandises ? OUI.

Plusieurs, dans les ports notamment et celui-ci, très intéressant, de la SNCB à Gorcy (F), ligne 165x entre Signeulx (sur l'Athus-Meuse) et Gorcy (F) – superbe petite ligne rurale avec un fort trafic de marchandises (traction Type 26, puis 202 et 203, enfin HLD 52, 53, 55 et locotracteur 92 pour le dernier train sortant), durant sa longue vie - et son grand grill de voies en sortie vers les Usines à fil de Longwy.





10. Divers : J'ai noté aussi la présence d'une gare sur un pont surplombant la ligne 161 (Etterbeek). Crugidim a consacré un fil á une gare en surplomb d'une ligne hennuyère, si je ne souviens bien.
Une gare sur la base d'un triangle de voies, perpendiculaire à celles-ci est aussi utile, comme à Pepinster (Lignes 37 et 44), en province de Liège.
Il y eu  la très surprenante (et éphémère) gare type métro à deux niveaux et en croisement, de et à Hindel, en Province de Liège dans le pays de Herve. Voici ce qu'en dit l'étude du Syndicat d'initiative du pays des 3 frontières, à Hombourg :
La gare de Hindel, appelée dans un premier temps «Homburg Est» par les Allemands, était dés sa construction une gare à deux niveaux. Le passage inférieur laissait place aux 3 voies de la ligne 24 et à celle de la bifurcation de la 38 tandis que le passage supérieur comportait une voie perpendiculaire avec la ligne 38 venant de la gare de Hombourg en direction de Plombières avec un quai donnant lui-même communication à la ligne 24 au niveau inférieur par une puis deux volées de 22 escaliers avec un palier.



Une gare entre falaises et rivière : Tilff (ligne 43).





Des gares en surplomb de la route ? Dolhain, ligne 37 ou sur la ligne 42 à Trois-Ponts. Jemelle sur la 162 a aussi une situation intéressante, elle semble être sur la pointe d'une colline.

Impossible à reproduire en modélisme, la gare de triage de Jambes – en pente ! -, sans doute la gare la plus dangereuse de la SNCB ; l'assiette est toujours visible et accessible sur la ligne 162 en montant sur Assesse au départ de Namur.

11. Trois  cas concrets qui ont retenu mon attention :

11.1 La gare de Verviers Ouest : première gare de Verviers, elle se situe sur une falaise, perpendiculairement à la Vesdre. C'était une gare terminus et pour continuer leur route vers l'Allemagne (la Prussse) ou Liège, les trains devaient rebrousser.  Au sommet de cet Y, une gare « centrale » dite Verviers Matadi vient s'implanter ; conséquence, la gare de Verviers Ouest est spécialisée dans les marchandises. Une jolie implantation en modélisme pour cette gare qui connaîtra un gros trafic malgré ses accès à voie unique originaux, une tranchée au départ de Verviers Palais, vers l'Allemagne, un talus et ses passages inférieurs vers Liège, encore visibles aujourd'hui.




La gare de Renaix (Ronse) présente ce même type de Y bouclé, mais elle n'est pas une gare terminus.


11.2 Gares et plaque tournante.

Dans un post, un membre du forum a ébahi plus d'un amateur de train en écrivant que les plaques tournantes étaient peu fréquentes car la SNCB préférait les triangles de retournement. Nous avons fait un bref recensement des plaques tournantes dans le Luxembourg  (il y en a  à foison dont une encore en état de fonctionnement) et des triangles de retournement. Ceux-ci étaient  au nombre de trois sur la ligne 162 : celui de Marloie (on fait comme si), utilisé par les allemands durant la fin de la seconde guerre, celui du Serpont, éphémère, près de Libramont qu'il eut été folie d'utiliser tant la ligne 162 était saturée et celui de la gare d'Arlon, existant jusque 1930, très intéressant, mais qui n'est fonctionnel que parce que son sommet est... une plaque tournante.



On peut se représenter la gare d'Arlon comme un triangle rectangle, l'angle droit étant au-dessus à gauche, l'orientation étant vers la droite. La gare est à l'intérieur du triangle.
Du dessous vous venez ou vous allez à Libramont, Ciney et Namur. Du dessus, Luxembourg.
En montant l'hypoténuse vers Luxembourg, vous traversez la gare des voyageurs, puis le dépôt enfin  les deux gares de marchandises. Entre la gare aux cokes, tout en haut et la ville, la dernière voie donne accès à la plaque tournante. Celle-ci fonctionne aussi comme un pont secteur et peut distribuer une voie perpendiculaire qui rejoint le dépôt.

Cela pourrait être une utilisation intéressante pour un modéliste au coin d'une  table, d'autant plus que cette plaque peut se substituer à quelques aiguillages et allonger ainsi des voies de garage ; sa manœuvre captive toujours les spectateurs.

11.3 Si comme moi, vous êtes passionnés par les plans de voie, alors nous nous retrouverons dans le schéma de conclusion, la gare de Bastogne-Sud, grill nord sur l'ancienne ligne 163, la ligne la plus déficitaire du pays sans doute avec la splendide et attachante 163a, mais absurde, Bertrix-Muno(F).



Nous sommes bien sur une petite ligne à voie unique, hors période de guerre, reliant Libramont à Gouvy, via Bastogne et Saint-Vith ; Bastogne est une petite bourgade comportant deux gares, dont la gare internationale de Bastogne Nord avec sa bifurcation vers Kautenbach  et Le Grand-duché de Luxembourg. Seule particularité de cette gare de Bastogne Sud : un quai militaire (trop étroit) qui a maintenu la ligne en sursis entre Bastogne Sud et Libramont.

Comment retrouve-t-on un grill d'entrée à 3 voies avec une TJD ? Mystère. Axe privilégié des allemands pendant les 2 guerres, cette TJD hérita notamment d'une pointe de cœur de très grande qualité en acier que la SNCB s'empressa de démonter pour replacer ailleurs.

A gauche, le quai à bois. Puis la gare voyageurs, la gare marchandise. A droite, une ligne de contournement. Dans le curieux mais sympathique jeu des aiguilles, une petite voie en impasse dont je ne comprends pas l'utilité. Le plan est disponible dans le grenier ferroviaire de notre ami DGRR.

Conclusion : Ce sont les gares et les voies qui s'adaptent au relief ...
 
PS : je ne connais pas bien le réseau belge. Tous les apports seront les bienvenus.

Si cela vous a intéressé, la partie II sera réservée aux voies en ligne.
Cordialement,  Bernard,

Lu sur le forum LR : Ha, non, dernière alternative si tu veux du 100% conforme : tu attends les futures sorties LSM, qui seront parfaites, vu ce que LSM a déjà produit.
Si tu es très jeune et que tu as la vie devant toi, c'est jouable...  " Je ne l'ai plus.

doomslu

#1
Super! Encore. [:p]
Luc

arnaud v

#2
Super, grand merci Aviseur!

Et pour continuer dans la série: existe-t'il des rivières DEPLACEES pour les besoins de l'implantation du talus d'un chemin de fer?

Oui, la Lesse, aux environs du château de Walzin..

Ou le Viroin, à Nismes (Viroinval) peu en aval de la roche à l'Homme, juste avant le tunnel des Abannets. Sur google maps on distingue bien le méandre recoupé, et le lit devenu droit et parallèle au chemin de fer (ligne Mariembourg Treignes CFV3V).

... ou encore, un affluent de l'Eau Blanche, dont la "corde" a été rectifiée pour faire place à l'assiette des voies de la gare de Mariembourg (chercher "Mariembourg rue de l'adoption").

En général, un mur de soutènement (maçonnerie de pierre bleue) est alors édifié coté rivière.

Arnaud v
Amateur ?poque III. Passionn? par l\'?tude des mat?riaux de construction, y compris dans le contexte ferroviaire.

Aviseur

#3
Citation :
Initialment entrer par arnaud v

Super, grand merci Aviseur!

Et pour continuer dans la série: existe-t'il des rivières DEPLACEES pour les besoins de l'implantation du talus d'un chemin de fer?

Oui, la Lesse, aux environs du château de Walzin..

Ou le Viroin, à Nismes (Viroinval) peu en aval de la roche à l'Homme, juste avant le tunnel des Abannets. Sur google maps on distingue bien le méandre recoupé, et le lit devenu droit et parallèle au chemin de fer (ligne Mariembourg Treignes CFV3V).

... ou encore, un affluent de l'Eau Blanche, dont la "corde" a été rectifiée pour faire place à l'assiette des voies de la gare de Mariembourg (chercher "Mariembourg rue de l'adoption").

En général, un mur de soutènement (maçonnerie de pierre bleue) est alors édifié coté rivière.

Arnaud v



Bien vu, je reprendrai cela dans la seconde partie "em ligne".
Et pour les barrages de l'eau d'heure, ce fut le contraire, c'est la ligne de chemin de fer qui a été dé´placée..
Cordialement,  Bernard,

Lu sur le forum LR : Ha, non, dernière alternative si tu veux du 100% conforme : tu attends les futures sorties LSM, qui seront parfaites, vu ce que LSM a déjà produit.
Si tu es très jeune et que tu as la vie devant toi, c'est jouable...  " Je ne l'ai plus.

zamateur

#4
Merci Bernard !
Encore une belle source d'inspiration.
Zébu ou Zamateur, c\'est au choix.

Amateur de Z avant tout et directeur technique des Saroulmapoul.
Fournisseur de couques et de flamiches

SebR4

#5
Merci pour cette étude très intéressante! [:)]

Citation :
Initialment entrer par Aviseur
[...]
10. Divers : J'ai noté aussi la présence d'une gare sur un pont surplombant la ligne 161 (Etterbeek). Crugidim a consacré un fil á une gare en surplomb d'une ligne hennuyère, si je ne souviens bien.
Une gare sur la base d'un triangle de voies, perpendiculaire à celles-ci est aussi utile, comme à Pepinster (Lignes 37 et 44), en province de Liège.
Il y eu  la très surprenante (et éphémère) gare type métro à deux niveaux et en croisement, de et à Hindel, en Province de Liège dans le pays de Herve. Voici ce qu'en dit l'étude du Syndicat d'initiative du pays des 3 frontières, à Hombourg :
La gare de Hindel, appelée dans un premier temps «Homburg Est» par les Allemands, était dés sa construction une gare à deux niveaux. Le passage inférieur laissait place aux 3 voies de la ligne 24 et à celle de la bifurcation de la 38 tandis que le passage supérieur comportait une voie perpendiculaire avec la ligne 38 venant de la gare de Hombourg en direction de Plombières avec un quai donnant lui-même communication à la ligne 24 au niveau inférieur par une puis deux volées de 22 escaliers avec un palier.





La gare sur le pont surplombant la L161 est le futur point d'arrêt Arcades sur la L26, dans le bas de l'image ci-dessous (au dessus de l'image, la gare de Watermael-Boisfort)

[Source: http://www.bing.com/maps ]

Vue du dessous grâce à Google Street View:

[Source: http://maps.google.be/maps?hl=fr&tab=ll ]

Un exemple de (future) gare à deux niveaux perpendiculaires, Uccle-Moensberg avec les futures 4 voies de la L124 au-dessus et les deux voies de la L26 en-dessous (la bifurcation dans laquelle se situe cette zone est bien sûr intéressante dans son ensemble):

[Source: powerpoint avec plus d'infos http://ecms.info-infrabel.be/DMS/ds/fr/12048135 ]

Bien sûr, ces deux exemples concernent l'époque VI au minimum [:I]

Seb
http://picasaweb.google.fr/SebastienR4 (photos ferroviaires + club RMC 783)

WIL-5183

#6
Comme quoi une simple question peut donner tellement d'idées.
Super ce fil. [:p][:p][:p]
Merci à tous d'y contribuer.

Amicalement.

Le Pater et « La pater » [:D][:D][:D][:D]

On dit que les artistes transmettent des messages, pour moi c'est mieux avec le facteur.

AnMaDu

#7
Rivière détournée...

C'est aussi le cas de la Lhomme (ou L'homme) à Jemelle. On peut le constater en comparant des cartes d'État-major de 1899 et 1933. Sur place, on remarque aussi quelques soutènements voûtés.
 

Guytoonet

#8
Grand merci pour ces documents qui nous aideront beaucoup pour réaliser des tracés cohérents [8D]

Guy
Guy, N'iste par faute d'espace ;D

zamateur

#9
Citation :
Initialment entrer par AnMaDu

Rivière détournée...

C'est aussi le cas de la Lhomme (ou L'homme) à Jemelle. On peut le constater en comparant des cartes d'État-major de 1899 et 1933. Sur place, on remarque aussi quelques soutènements voûtés.


Tu es certain ?
La Wamme, oui.  Mais la Lhomme ??
Zébu ou Zamateur, c\'est au choix.

Amateur de Z avant tout et directeur technique des Saroulmapoul.
Fournisseur de couques et de flamiches

arnaud v

#10
Citation :
Initialment entrer par AnMaDu

Rivière détournée...

C'est aussi le cas de la Lhomme (ou L'homme) à Jemelle. On peut le constater en comparant des cartes d'État-major de 1899 et 1933. Sur place, on remarque aussi quelques soutènements voûtés.



Repéré!

Liens vers Google Street View (rue du Congo, pont vers Rochefort):

http://maps.google.be/maps?q=jemelle&hl=fr&ie=UTF8&ll=50.155786,5.261593&spn=0.00011,0.054846&hnear=Jemelle,+Luxembourg,+R%C3%A9gion+Wallonne&t=m&z=14&vpsrc=6&layer=c&cbll=50.155693,5.261665&panoid=PjasbPU2PkxIIPUyYGUIDw&cbp=12,139.08,,0,-2.31

C'est bien ceux là?
Merci de l'info en tous cas
Amateur ?poque III. Passionn? par l\'?tude des mat?riaux de construction, y compris dans le contexte ferroviaire.

AnMaDu

#11
Tout à fait !
 

arnaud v

#12
Citation :
Initialment entrer par AnMaDu

Tout à fait !



Nouvel objectif de ballade photo-vélo ce prochain printemps [:)]

Sinon, si il y a la possibilité de montrer ici les cartes en question ce serai très instructif.

Merci
Amateur ?poque III. Passionn? par l\'?tude des mat?riaux de construction, y compris dans le contexte ferroviaire.

zamateur

#13
OK, maintenant je vois.  Tout au bout de la rue du Congo.
Zébu ou Zamateur, c\'est au choix.

Amateur de Z avant tout et directeur technique des Saroulmapoul.
Fournisseur de couques et de flamiches

AnMaDu

#14
Les deux extraits de cartes peuvent être téléchargés sur (public.me.com/andremarieducarme/fr), sans les parenthèses. Le dossier ne comprend actuellement que le fichier (jemelle_p31.jpg). Il s'agit d'une page d'un dossier que j'avais réalisé pour le cours d'Étude du milieu en 2e lorsque j'enseignais encore.