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péripatéticienne

Démarré par Moreau Nicolas, 22 Avril 2011, 12:13:56 PM

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Moreau Nicolas

C'est un chef d'entreprise qui gagne admirablement sa vie. Il achète à crédit une énorme maison, une Porsche en plus de sa BMW et un tat de trucs comme ça (qui son d'ailleurs bien inutiles quand on pense qu'il y a des gens qui, en travaillant autant, ne savent même pas se loger quelque part de salubre[:(][:(!][:0][xx(][V][}:)]=>petit coup de gueule. enfin bref revenons en à la blague). Ce type à donc le c... dans le beurre jusqu'au jour où arrive...(petite musique stressante à la "Dark Vador" pour mettre l'ambiance[;)])...LA CRISE!!!!!!!!![}:)][xx(][:(][:(!][V][B)][:0]. Et il se fait que son entreprise fait faillite et il se retrouve à la rue avec toutes ses choses achetées à crédit. Il finit donc par ne plus savoir payer sa maison et ses voitures. Sa femme, voyant les dettes venir, se taille avec les enfants et l'ex-patron se retrouve...avec 1 pauvre petit euro à la rue...[xx(]. C'est la déprime totale il se dit qu'il vivra sous un pont jusqu'à la fin de sa vie et c'est là qu'il rêve à ce que quelqu'un qui a une situation confortable puisse l'aider lui permettre de se refaire une vie. Malheureusement, le monde est ce qu'il est et le jeu auquel il avait joué, à savoir je m'amasse le plus de fric possible même si je ne sais pas quoi en faire et tant pis pour les autres, se retourne contre lui, BREF, il est seul et sans personne (logique me dirai vous). il se dit donc: "Je n'ai plus rien à part ce petit euro, je ne sais pas de quoi sera fait demain, alors tant qu'à faire autant vivre une dernière nuit où je pourrais me permettre de recevoir un peu d'"amour" de quelqu'un. Il se dirige donc tristement jusqu'à la rue d'Aerschot à Bruxelles (c'est une rue qui reste éclairée jusque très tard dans la nuit où travaillent des madames qui n'ont plus beaucoup de vêtements, pour ceux qui ne connaissent pas). Notre ex-patron marche donc dans la rue, en regardant ces madames derrière leur vitrine il en voit une pas male. Il entre donc dans le "bar" et demande si c'est possible de... enfin de ... bref d'essayer. La femme lui répond donc
-"mais oui mon coco, c'est possible, tout est possible. J'te fais la totale?"
-"Heu c'est à dire que je n'ai qu'un euro et donc..."
-"Un euro? Mais avec ça j'enlèverais même pas le haut" Et elle éclate de rire
Du coup il quitte l'établissement et se dit qu'il va voire du côté des plus petites rues, plus enfoncées dans l'obscurité de la ville. Il arrive alors devant un petit café et derrière la vitre il y a une femme dans la même tenue que les autres mais avec les rides et les années en plus. Il se dit "de toute façon c'est mieux ça que rien, allez j'entre".
-"Bonjour je voulais savoir ce qu'il était possible d'avoir pour un euro?"
-"Un euro? Mais, mon poussin, je sais que je ne suis plus toute jeune. J'ai connu beaucoup de trafic et les poids lourds ainsi que les "convoies exeptionnels" m'ont un peu usé et rendu comparable à une autoroute wallonne mais tout de même il ne faut pas oublier l'expérience et ça, ça coute."
-"Et vous ne savez pas s'il y a moyen d'allez quelque part où on sait s'en sortir pour un euro?"
-"Ho il y a bien la "Ragunia" qui ne demande pas cher."
-"Et où pourrais-je la trouver?"
-"Elle travaille loin d'ici, en périférie. Tu la trouveras dans un terrain vague qui donne sur la "Rue du Marais Puant" du coté de Scharbeek."
-"Bon, d'accord. Merci pour le renseignement."
Il s'en va donc à travers la nuit et les rues sombres. Et après une heure de marche il arrive "Rue du Marais Puant". Il entre dans le terrain vague et voit au loin dans la brume une lumière. Il avance alors dans le terrain boueux. Au loin il entend une 20 qui passe avec un lourd train de marchandise, des chats qui miaulent, des freins de voitures, une sirène et le bruit du vent. il trébuche sur une motte et s'étale dans la boue. Il est dégueulasse de la tête jusqu'aux pied et se demande ce qu'il est venu faire là. Il arrive finalement devant une vieille cabane faite de tôles et de planches d'où sort une faible lumière. Là il se dit "est-ce que j'ai bien fait de venir ici, je devrais peut-être faire demi-tour? Et puis non, c'est trop bête, j'y vais, je n'ai pas fait tout ce chemin pour rien. Il toque donc et sort de la cabane une voix, que dis-je un beuglement atroce: "Ouiiiiiiiiiiiiiiiii?...". ça lui glasse le sang mais il ne peut plus faire demis-tour il pousse donc la "porte" qui menace de lâcher à tout moment et là...Il découvre, couché à même le sol un tat de peau et de graisse vaguement recouvert de vêtements.
-"C'est pourquoi?".
-"Et bien voilà, une de vos collègue vous à renseigné. Je n'ai qu'un euro et je voulais vous demandé ce que vous faites pour cette somme."
-"Un euro? Mais c'est extraordinaire ça, ça fait un mois que je n'ai plus reçu autant. Pour ça je te fais la totale."
"Ho non" se dit-il
-"Bon désabille-toi"
Il obéit
-"Maintenant soulève ma jupe."
Et là c'est une vue apocalyptique qui s'offre à lui[xx(]. "Voilà à quoi doit ressembler l'enfer[}:)]" se dit-il.
-"Mais, il y a plein de bêtes la dedant, ce sont des morpions!"
-"Ben oui pour se prix là tu ne croyais tout de même pas que tu aurais des gambas, non?" [;)]

\"La bonne humeur est contagieuse, ne combatons pas cette maladie\"

PS: Je suis ? la recherche d\'une photo de la 2332 et de la 2140 entre 1992 et 1996. Si quelqu\'un pouvait m\'aider ;-)